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Keira et Kala, deux chiens de rue abandonnés et recueillis par un refuge animalier à Atlanta (Etats-Unis), devaient être euthanasiés, dans un centre destiné à l'euthanasie d'animaux dans le nord de la Géorgie en 2015, pour cause de surpopulation animale.
Une photo du couple enlacé dans une étreinte déchirante a déclenché une frénésie sur Internet. Leur photo est devenue virale sur Facebook après que l'organisation caritative de sauvetage pour chiens basée à Atlanta Angels Among Us (Des Anges parmi nous) l'a partagée avec les abonnés de sa page. « Pour vous, cette photo, c'est 'les chiens qui s'étreignent', a déclaré l'organisation caritative de sauvetage animalier, mais pour nous, ils sont les têtes d'affiche de la crise des animaux de compagnie sans-abri en Géorgie. »

Keira et Kala qui sont dans un refuge et qui devaient être euthanasiés ont été sauvées. Un résident de la région, situé à Atlanta aux Etats-Unis, est arrivé au refuge deux heures après la publication de la photographie et a adopté Keira et Kala...”
Keira et Kala étaient toujours là et quand l'homme s'est approché, les deux chiens lui ont sauté dans les bras, pleins de bonheur.
Keira et Kala qui sont dans un refuge et qui devaient être euthanasiés ont été sauvées. ”

n documentaire britannique a révélé qu'une jeune Anglaise avait reçu une amende des policiers pour leur avoir fait “perdre leur temps”. Son tort : avoir signalé à cinq reprises un homme qui l'a harcelée et finalement tuée.
Shana Grice a 19 ans en 2016. Dans le cadre de son travail, elle rencontre Michael Lane qui devient très vite obsédé par la jeune femme. Pendant huit mois, il la harcèle. À cinq reprises, elle signale à la police du Sussex faire l'objet d'actes de harcèlement de plus en plus violents selon le documentaire "Murder in Slow Motion", "Meurtre au ralenti" en français.
Lors de sa dernière agression signalée à la police, elle est poursuivie par Lane qui lui tire les cheveux et lui arrache son téléphone. Si les forces de l'ordre reconnaissent l'infraction et infligent un avertissement à l'agresseur, Shana Grice reçoit une amende de 90 livres (environ 105 euros), pour avoir fait "perdre son temps à la police". Trois mois plus tard, Lane rentre dans la chambre de la jeune femme et l'égorge.
Des femmes sans protection
Interpellé, mis en examen, et jugé, le meurtrier écope en 2017 d'une peine de prison à vie. Lors du verdict, le juge a critiqué ouvertement les forces de l'ordre : “La police a tiré des conclusions hâtives et Shana a été stéréotypée.” “Tragiquement, lorsqu'elle a demandé de l'aide à la police, elle n'en a reçu aucune. Michael Lane a estimé que s'il continuait son comportement de harcèlement obsessionnel, il était très peu probable que la police fasse quoi que ce soit pour l'arrêter. Et il a continué.”
Au Royaume-Uni, en dix ans, 2 075 femmes ont été assassinées et 57% ont été tuées par une personne qu'elles connaissaient. Selon le psychologue légiste Kerry Daynes, expert des questions criminelles, “l'affaire Shana Grice montre bien pourquoi les femmes font peu confiance à la police et pourquoi elles signalent rarement les incidents parce qu'elles doutent d'obtenir toute l'aide dont elles ont besoin.”






                                         
        Les oreilles  m'en tombent